À la fin, il n’y a plus rien
L’oligarchie, tapie derrière la finance internationale et McKinsey, vous a créé et fait élire. En échange, tels des worms et des spyware, ils ont infecté le logiciel France. Et de pare-feu national il n’y a plus.
Vous aviez commencé à vendre le pays depuis le ministère de l’Économie. Vous y avez placé un hologramme plumitif, ministre du Vide puisque d’Économie française il n’y a plus.
Vous avez massacré les Gilets jaunes, flashballisé en même temps à gauche et à droite. Vous avez réduit au silence ceux qui ne sont rien. Et d’opposition il n’y a plus.
La seringue BigPharma-Blackrock a injecté venin et pompé flouze, a épuisé et éjecté les séditieux. Et d’énergie, de sang neuf il n’y a plus.
Assuré que les pillards européistes restent à demeure, vous arrangez un petit coup d’État, préparé depuis des semaines, avec comme levier Les-Heures-Les-Plus-Sombres. Vous leur abandonnez bien la Nation puisque de Nation il n’y a plus.
At home (en France), votre mission commandée par la dictature atlantiste est terminée, vous pouvez maintenant la détruire draußen (dans le monde) : casser le siège de l’ONU, livrer la bombe, commander fusils et petits soldats. Puisque de France il n’y a plus.