Un bon divertissement ou une insupportable manipulation psychologique ?
Un fait peut être observé à tant de niveaux de lecture différents… Par exemple, la cérémonie d’ouverture des JO de 2024 a été pour certains un bon divertissement, peut-être un peu long mais réussi. Pour d’autres cela a été une insupportable manipulation psychologique d’une audience mondiale au profit des idéologies transhumanistes, transgenristes et pédophiles, une déstructuration programmée des identités et des mœurs.
Creusons. Osons creuser plus profondément dans les ténèbres du phénomène. Risquons-nous sur le bizarre, l’incongru, le loufoque, seulement digne d’un haussement d’épaules pour beaucoup. Supposons un instant qu’un autre niveau de lecture puisse être envisagé, moins par goût que grâce à quelques connaissances des coutumes de nos oligarchies. Oui, goûtons la controverse. Entrevoyons un instant ce curieux procédé que l’on nomme décret satanique. Je vous vois soupirer. Comment ! S… ? Encore lui ? Allons, renvoyons-le au grenier des vieux contes moisis, dans la malle poussiéreuse ou dorment croquemitaines et loups garous.
Seulement voilà : il ne s’agit pas ici de croyance mais de sociologie. De rendre compte que le satanisme est un point de ralliement identitaire pour une partie de l’hyperclasse mondiale. Ses membres s’assureraient ainsi les bonnes grâces du Malin afin agréger encore plus de pouvoir. Vous noterez que selon le pratiquant, cela peut être un engagement de conviction ou de façade, peu importe. Nous sommes peut-être ici en présence de l’expression ultime du Pouvoir. Il s’agit de l’entre-soi d’une symbolique plus ou moins cachée qu’il faut savoir décrypter. Mais c’est aussi la complicité criminelle d’actes répréhensibles commis en en groupe, conjuguant l’ivresse de l’impunité et la solidarité indispensable entre co-auteurs de crimes. Oui, je sais ; grotesque ? Allons, ce n’est pas parce que l’on ignore une information qu’elle est fausse…
Petit rappel de démonologie : afin qu’un maléfice soit exaucé par le Malin, la condition première de sa réussite exige que la victime soit informée du mauvais sort qui lui est destiné. Cela fait partie de la procédure connue sous le nom de décret satanique. Vous souvenez-vous de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Londres en 2012 où l’on voyait des lits blancs d’hôpitaux alignés, des infirmières en folie, un gigantesque sorcier qui de sa baguette magique soulevait de terre une petite fille dans son lit d’hôpital ? Et des hordes de lutins noirs faisaient la chasse aux enfants… Cela ne vous rappelle pas quelque événement covidien plus récent, où hélas, à la différence de cette chorégraphie, une nuée de Mary Poppins ne venait pas sauver les petits malades ?
Hasard ou préméditation ? La seconde hypothèse reste ouverte…
Si l’on suit ce schéma, que nous a-t-on promis lors de cette cérémonie de 2024 ? Quelles ont été les annonces faites aux peuples de la Terre, à quelle sauce allons-nous être mangés ?
Outre la déstructuration programmée des individus, des familles et finalement de la société toute entière par le levier de l’homosexualité et ses variantes (ça on savait), on a eu droit aussi à une promesse eschatologique, ce cheval blanc mécanique qui galope sur les flots : « Je vois un cheval pâle. Son cavalier s’appelle « la Mort », et le monde des morts marche derrière lui. Ils reçoivent le pouvoir sur le quart de la terre. Ainsi ils vont tuer ses habitants avec l’épée, la famine, tout ce qui apporte la mort et avec les bêtes sauvages de la terre. » Apocalypse 6:8
Message reçu.
Macron et les ors et les pompes olympiques n’ont été qu’un rouage de ce process de notification. Il devait se faire à tout prix, quel qu’en soit le retour de bâton. Il en résulta un haut-le-cœur chez de nombreuses nations, dit-on, mais aussi une indifférence piégée pour la majorité de nos concitoyens.