C’est fou ce qu’on se sent en sécurité en entendant cela…
Tel un perroquet, un sombre perroquet, l’eurodéputé macroniste Valérie Hayer s’en va répétant : « nous n’avons pas le choix », « pas d’autre choix » que de continuer à soutenir l’effort de guerre ukrainien et Volodymir Zelensky.
120 milliards d’euros jetés dans le brasier ukrainien pour l’attiser, c’est bel et bon, mais pas assez selon madame Hayer ! Il faut passer la surmultipliée, cesser de faire les mijaurées, car « il n’y a pas d’autre option possible » qu’une guerre sans fin à nos confins.
Son mentor Coco le poudré, le perroquet bien nommé, plaide, lui, pour attaquer l’ogre russe sur son territoire. Avec notre blé, et bientôt nos enfants peut-être ?
Question, nous disent (et redisent, car ils se plaisent à redire, à répéter), ces perroquets fauteurs de guerre, de « sécurité collective ». C’est fou ce qu’on se sent en sécurité en entendant cela…
Les perspectives de paix ouvertes par l’élection de Donald Trump semblent mettre en panique les bellicistes européistes. C’est le bourreau qui demande encore quelques minutes à la victime qui se met à espérer, pour achever sa besogne et la saigner proprement !
A tous ces cocos de malheur, je conseillerais une lecture : Stabat mater furiosa de Jean-Pierre Siméon, le cri déchirant d’une femme contre toutes les horreurs de la guerre, loin, si loin de leur verbiage dénué d’humanité.