Arbres

Tant qu’il y aura des arbres, il y aura des hommes

Cet article s’appuie en grande partie sur le livre de Sabah Rahmani, Paroles des peuples racines, paru chez Actes Sud en 2019 (préface de Pierre Rabhi). Dans cet ouvrage, une vingtaine de représentants de peuples dits premiers ou indigènes s’expriment. Ces gardiens de la nature et des savoirs ancestraux présentent avec fierté leur culture et leurs traditions, mais aussi - avec une douleur contenue - leur difficile confrontation avec la modernité. Ces femmes et ces hommes en appellent à une réconciliation avec la nature autour d’une idée-force (nous tous, humains, avons « la Terre en partage ») et de valeurs comme l’amour, la joie et la compréhension mutuelle.

Planter des arbres, croire en la vie

L’homme qui plantait des arbres est un court récit en forme de conte écrit en 1953 par Jean Giono. Il est construit autour du personnage d’Elzéard Bouffier, un berger retiré dans un coin inhospitalier de Haute-Provence. Le narrateur le rencontre par hasard en 1913 à l’occasion d’une randonnée dans cette région de moyenne montagne quasi-déserte. Il découvre alors, ébahi, admiratif, le labeur méthodique et acharné auquel se livre le solitaire et opiniâtre Elzéard, qui consiste à planter au fil des jours des milliers et des milliers d’arbres !

Les Faux de Verzy

Le deuxième volet de notre série sur les arbres est une ballade poétique admirative autour des étranges Faux de Verzy.

Un splendide géant

Le poème que nous livre Julian Dupré en guise d’hommage à « La Pouplie », un peuplier noir du nord de la Champagne à l’histoire singulière, inaugure une série dédiée aux arbres, remarquables ou moins. Il y sera question de milieux, de racines évidemment, d’inspiration voire de mystère et, avant toute autre chose, de Vie.