Électrocutée, clôturé, vaccinés
Des images de mon enfance me reviennent, je suis en extase devant le sapin de Noël, j’admire ses décorations scintillantes et je parle aux anges accrochés aux branches. Pendant des années, Noël a été pour moi synonyme de magie, sauf peut-être l’année où je me suis électrocutée avec la guirlande électrique, « ça devait bien arriver, à force de tripoter le sapin ! ». Lors de mon déménagement, j’ai retrouvé les lettres qu’écrivait mon fils au père Noël, une longue liste de jouets avec l’assurance d’avoir été sage toute l’année. Je les ai précieusement rangées en me rappelant avec émotion son regard émerveillé devant les cadeaux disposés sous le sapin et le bonheur de voir dans ses yeux la magie renouvelée.
Plus récemment, je me souviens également, il y a trois ans, avoir dû entrer par effraction dans le marché de Noël de ma commune, parce que je n’avais pas mon pass sanitaire et que mon fils ne supportait pas l’idée de ne pas pouvoir s’y rendre avec moi. Les agents communaux s’étaient vantés sur les réseaux de s’être levés très tôt afin de hisser de hautes palissades et la mairie avait embauché des vigiles en nombre afin d’en protéger l’accès. J’étais tout de même parvenue à m’y faufiler comme une voleuse, mon fils sur les talons, en me disant qu’il se souviendrait longtemps de ce marché de Noël et me demandant vaguement quel exemple je lui donnais en défiant ouvertement les autorités officielles.
Aujourd’hui, les centres commerciaux bondés nous éloignent du père Noël et de son traineau. Et le produit vedette de la fête, le foie gras, pourrait bien contenir cette année le vaccin que bon nombre d’entre nous ont fui en 2021. L’information a été discrète, mais ce sont 60 millions de canards qui ont été vaccinés contre l’IAHP (influenza aviaire hautement pathogène) entre le 1er octobre 2023 et le 1er octobre 2024, avec un vaccin expérimental à ARN Messager. A l’heure où l’on commence à évoquer publiquement les effets secondaires du vaccin Covid, voilà que l’on vaccine nos canards. Selon Thibault Masco de Santé non censurée et selon la documentation officielle du vaccin, on y retrouve des adjuvants, un ARN synthétique, et la fameuse protéine Spike. A-t-on sérieusement étudié les effets d’une ingestion prolongée de protéines Spike ? Selon le rédacteur, aucune donnée solide ne permet aujourd’hui de répondre clairement à cette question. Les vaccins à ARN ont été conçus pour une administration par injection, car l’ARN est extrêmement fragile dans les conditions du système digestif : il est dégradé rapidement par les enzymes digestives et l’acidité de l’estomac. Même si ce point peut sembler rassurant, des questions se posent malgré tout. Car des recherches sur les vaccins à ARN et les protéines Spike montrent qu’il existe des risques inflammatoires accrus dans les tissus. On ignore encore ce que pourrait induire une ingestion répétée de ces protéines … Je n’ai pas d’informations sur la dinde a priori épargnée par la campagne vaccinale !
Une belle surprise
Noël est également synonyme de réunion familiale, la joie de se retrouver autour d’une table. Quand j’ai commencé à écrire pour l’Echo, je souhaitais témoigner des effets indésirables du vaccin Covid. Nous avons tous pu constater les dégâts occasionnés par ces injections expérimentales, au sein de notre famille ou chez nos proches. Et dans certains cas, cela nous a empêché d’y aller et dans une certaine mesure, cela nous a sauvé la vie. Ce fut mon cas et je me dois de rendre hommage aux victimes de notre société corrompue. Si au fil du temps, mes mots ont été chercher d’autres sujets, je n’oublierai jamais la souffrance occasionnée. D’ailleurs le 4 décembre, jour de la chute de Barnier, la sortie du rapport américain « After action review of the Covid-19 pandemic : the lessons learned and a path forward », fruit d’un travail colossal et émis par la Chambre des Représentants du Congrès américain, évoque en 557 pages l’origine du virus, l’efficacité très discutable des mesures sanitaire et surtout, une mise sur le marché précipitée et une occultation volontaire des effets indésirables. Je vous laisse le découvrir au travers de l’article de Rodolphe Bacquet.
Il me semble que la vérité prend l’escalier et qu’elle émerge peu à peu. Cette perspective, à la veille des fêtes de fin d’année, est une belle surprise. Malgré leurs tentatives minables de sabotage, je me plais à croire que l’esprit de Noël survivra. Noël est finalement ce que l’on veut bien en faire et l’intention que l’on y met. La magie, les guirlandes qui brillent, les anges, les cadeaux, le chocolat, mais surtout l’amour.
Pour aller plus loin :
https://agriculture.gouv.fr/influenza-aviaire-le-plan-daction-vaccination-de-la-france